LÍDER NACIONALISTA DENUNCIA TIBIEZA E FALTA DE VIGILÂNCIA DAS AUTORIDADES FRANCESAS DIANTE DA AMEAÇA MUÇULMANA
Em França, a líder do partido nacionalista Frente Nacional (FN) e candidata presidencial Marine Le Pen acusou o governo de permitir aos radicais islamistas o controlo dos subúrbios das grandes cidades - e exige a revisão da política de segurança depois dos assassínios de Toulouse e Montauban, que vitimaram ao todo sete pessoas.
«O governo está assustado», disse Le Pen, em entrevista à rádio France Info, e continuou: «tenho andado a dizer isto há dez anos. Bairros inteiros estão nas mãos de fundamentalistas islâmicos e reitero que se substimou este perigo.»
A líder nacionalista assevera que «a paz social e civil» de algumas zonas dos arredores das grandes urbes está comprometida com estas redes radicais, às quais supostamente pertencia Merah. Acusa além disso os serviços secretos franceses de não seguir como devia este jovem, embora este já tivesse sido preso em várias ocasiões e fosse suspeito de formar parte da rede encabeçada por Aiman al Zawahiri. E aproveita para salientar que as autoridades deveriam vigiar com mais rigor o «fascismo verde» (porque verde é a cor do Islão) que, segundo diz, está a crescer em França.
14 Comments:
O gajo deveria é ter sido expulso. Não é francês, comete crimes, então é expulsão.
Resposta ao beato favelado pró-muslo:
http://gladio.blogspot.pt/2012/03/carne-halal-ser-infiltrada-na.html
ACHO QUE ELA DETURPA MUSSOLINI AO COMPARAR ELE COM OS MUSLOS..
Les rues sont pleines de Mohamed Merah potentiels qui aident les vieilles dames à porter leurs courses
samedi 24 mars 2012
Mohamed
Tout à l'heure j'ai vu Mohamed Merah. Il était dans sa voiture, du mauvais rap dans les enceintes, à l'arrêt devant un feu vert, discutant avec un de ses potes, qui n'était autre que Mohamed Merah. Plus tard dans la journée, j'ai croisé deux autres Mohamed Merah, marchant sur une place pavée de cette manière si particulière laissant croire qu'ils ont une jambe plus courte que l'autre, se déplaçant très lentement, ils fixaient les clients sur les terrasses, ils s'approchaient, comme s'ils attendaient un "regard de travers", une excuse.
En buvant mon verre - assis au soleil - je les observais, et je repensais à un autre Mohamed Merah, un que j'ai connu il y a longtemps, en sixième. Il s'appelait Kader celui-ci. Un gamin issu de la banlieue qui enveloppait notre collège, un petit bonhomme avec qui je riais beaucoup, gentil comme pas deux, une "crème" comme on dit. Une fois il m'a dit "Hitler ? J'le déteste c'était un facho ! Sauf pour les Juifs, là j'lui dis trop merci pour ce qu'il a fait Wallah !", au début j'ai pensé qu'il plaisantait, évidemment. Mes oreilles n'étaient pas préparées à ça, on m'avait pas prévenu, c'était pas prévu dans le scénario. Depuis j'ai fait de la route.
"C'était un garçon plein de vie, souriant, poli, on ne comprend pas ce qui s'est passé", qu'ils disent, à la télé. Comme si - en voyant les images de ce type en train de faire crisser les pneus d'une bagnole qui vaut quelques dizaines de SMIC - on ne comprenait pas de qui il s'agissait. Comme si c'était le genre de types à qui on confierait un de nos gosses ou même 10 euros. Comme si ce sourire-là nous disait du bien sur son propriétaire. Quand j'ai vu sa gueule hilare dans tous les JTs j'ai eu l'impression de le connaître, de le reconnaître, tellement je l'ai croisé dans ma vie. C'est évidemment lui qui reste au milieu de la route et bloque la circulation, et c'est encore lui qui rôde avec ses potes autour des cafés en ville. C'est avec lui que je rigolais de bon cœur quand j'avais l'excuse d'avoir 11 ans. C'est lui dont tout homme doté d'un minimum de bon sens s'éloigne avec sagesse, c'est avec lui que chaque jour on s'applique à garder une distance de sécurité - non par couardise mais par intelligence élémentaire - parce que l'on sait que lui contrairement à nous n'a rien à perdre, qu'il a la rage et qu'il n'hésitera pas à la déchaîner contre une femme, un enfant, un handicapé, qu'on a déjà vu ça plus d'une fois. Alors on évite le conflit pour nos gosses, pour notre copine, pour notre vie, avec une extrême prudence totalement légitime.
Le sourire de Merah c'est celui de la Fouine, dont j'ai déjà parlé. Leur légèreté n'est qu'apparente, ce qu'ils traînent avec eux c'est une boule de haine à notre encontre - une tumeur de gaz en combustion grossissant comme le Soleil - qui ne demande qu'à exploser. En 3 secondes on peut passer du taxage de clopes au tabassage en règle. Nous savons cela, nous le savons d'instinct. Les Mohamed Merah ne "cherchent pas la baston" comme une vulgaire bande de beaufs avinés en fin de soirée, à l'ancienne, non, eux sont souvent sobres et alertes, et s'ils cherchent le conflit ce n'est pas juste pour "se bagarrer" entre bonhommes et se tenir par le col pour faire mouiller les gonzesses, c'est pour nous finir à la lame, pour nous éclater le crâne à dix contre un ou à l'aide d'une bagnole, c'est pour nous détruire.
"Un garçon exemplaire, rien ne laissait présager que...", mon cul. Les rues sont pleines de Mohamed Merah potentiels qui aident les vieilles dames à porter leurs courses. Il faudra un jour arrêter de se raconter des histoires, faire semblant de ne pas voir, et le plus tôt sera le mieux. "Tu exagères, il faut être vraiment être cinglé pour faire ce qu'il a fait...", je les vois déjà arriver avec leur "Faut pas généraliser", cette phrase qui est toujours la signature des connards. Bien sûr qu'il faut généraliser, c'est l'essence même de toute pensée que de regarder le réel et d'en tirer des grandes lignes de lecture sans s'arrêter au stérile "ça dépend des gens". Nietzsche écrivait "la folie est quelque chose de rare chez l'individu ; elle est la règle pour les groupes, les partis, les peuples", et ça tombe bien car Merah n'était pas un individu mais précisément un groupe, un parti, un peuple. Ce qu'ils sont, viscéralement, chacun d'entre eux, c'est leur communauté, leur "race". Et c'est bien pour cela qu'ils nous disent si volontiers de "niquer" la nôtre.
On ne le dira jamais assez : ce qui fait que chaque Mohamed Merah ne tue pas chaque jour est circonstanciel, pas structurel. C'est un détail. Ils ne le font pas, parce que les gens désertent leurs quartiers, ou baissent les yeux, ou se cachent, bref, rien de fondamental ne les en empêche, et à la première occasion ils peuvent vous mettre une balle au milieu du front, s'ils se sentent d'humeur. C'est ça, la banalité du mal. Je le répète donc, parce qu'il le faut : des Mohamed Merah il y en a partout. Non, il ne s'agit pas d'une minorité, et même s'ils l'étaient ils sont aidés et soutenus par une majorité des leurs, un entourage qui les approuve toujours sur le fond, à commencer par leurs propres parents. Le geste de Merah n'est pas un acte isolé, il n'est que la partie visible de l'iceberg. Nous le savons tous, nous les croisons à l'arrière des bus, dans les cages d'escalier, dans les parcs l'été. Nous connaissons tous le profil de ces meurtriers en puissance, et même si nous avons parfois du mal à le définir, comme j'essaie de le faire, comme d'autres essaient avec moi, nous savons.
Nous savons que Mohamed Merah est le dernier produit de la période antiraciste que nous vivons, qu'il est un mélange hasardeux entre une racaille sous-gangsta-rap de parking d'HLM - "Wesh couzin mate ma caiss le brui kel sor C du lour !" - et un islamiste radical - le garçon étant un habitué des centres d'entraînement pour talibans, le tout emballé pendant des années dans un joli costume de "gentil garçon plein d'énergie et plein d'avenir" par ceux qui s'obstinent pourtant à chercher des SS dans nos rangs. Non seulement Merah est une conséquence ultime de tout ce contre quoi nous combattons, mais mieux que ça il en est une synthèse presque parfaite, ce qui démontre une bonne fois pour toutes le bien fondé de notre sentiment à tous même lorsque celui-ci était parfois confus. Avant de le savoir nous avions raison, le cerveau a toujours un temps de retard sur l'instinct de conservation. Oui on peut passer de la tournante à la prière et de la cave à la mosquée, même si ça donnera un mal de crâne terrible à Alain Soral, brillant sociologue français pour qui l'islamo-racaille ne peut pas exister, et qui pour le coup avoue logiquement ne pas parvenir à cerner le personnage.
Pourtant il arrive à point nommé, ce personnage, à un moment de la pièce où l'intrigue se dévoile, où les masques tombent les uns après les autres. Il est l'élément déclencheur. Voyez cette prof qui a demandé une minute de silence à ses lycéens en hommage à Mohamed Merah, arguant qu'il avait eu une enfance difficile et que son lien avec Al-Qaïda n'était que pure invention de "Sarko". Essayez juste une minute de concevoir le mécanisme qui dans sa tête a provoqué cette décision, ses motivations profondes. Demandez-vous si ce genre de personnes vote Mélenchon ou bien lit Brasillach. Maintenant, imaginez ne serait-ce qu'une seconde la teneur des cours d'une telle enseignante depuis des années. Supposez enfin que sans aller jusqu'à exiger une minute de silence pour un mec qui exécute des gosses à bout portant, d'autres profs - appelons-les les "profs modérés" - n'en pensent pas moins. Alors, contemplez l'étendue des dégâts. Les gens ont toujours choisi leur camp, comme je l'avais écrit à travers l'exemple d'une certaine Daria Marx, mais le fait est qu'ils prennent de moins en moins de gants. Et c'est très bien, que l'on voie qui est où.
Les lignes de démarcation se précisent jour après jour, la guerre devient assumée de part et d'autre, de la panique des politiques de gauche comme de droite jusqu'aux pages facebook en mémoire du terroriste cliquées des milliers de fois et effacées précipitamment, de son frère et de sa famille qui se disent fiers de lui jusqu'aux profs qui lâchent enfin le morceau, en passant par son avocat, celui qui prétend ne rien avoir vu venir et qui accessoirement s'était déjà présenté à des élections sous l'étiquette "Elan citoyen contre les discriminations", c'est presque trop beau pour être vrai -, et Gérard Longuet qui avoue que tout ceci est arrivé parce qu'on s'est obstiné à chercher un nazi imaginaire... tout s'éclaircit, alors je n'ai peut-être pas encore vu grand-chose dans ma courte existence mais tout ça ressemble à s'y méprendre à un dernier acte.
http://lhorreurduchateau.blogspot.fr/2012/03/mohamed.html
esse animal mereçia pena de morte!
Caturo, que achas deste blogue?
http://www.antiwhitemedia.com/
Parece-me bastante bom, pelo pouco que dele vi. É uma mina. Saliento este tópico,
http://www.antiwhitemedia.com/2012/02/blog-post.html
pela observação dos detalhes que passam mensagem subliminar.
O curioso é como a questão da falta de masculinidade nos homens, que usualmente é tão valorizada nos mé(r)dia quando se trata de promover os homossexuais, aqui serve precisamente para denegrir, e pelos vistos ninguém faz barulho por causa disso...
Saliento também a inacreditável violência do vídeo observado neste tópico:
http://www.antiwhitemedia.com/2012/03/white-wimp-gets-turnded-into-vending.html
Olha uma coisa destas em que o explodido fosse o negro, quantos gritos histéricos anti-racistas não suscitaria...
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